Dans l'éventualité où la pluie vous prenne par surprise durant votre promenade autour de Place de la Halle, arrêtez-vous dans ce restaurant. La cuisine française créée par un chef populaire est merveilleuse ici. Le Relais de Saulx vous garantit une Kachamak délectable. C'est une bonne idée de commander un parfait délicieux.
La carte des vins ravira tous les palais, tous les visiteurs pourront trouver le vin qui leur plaira. Ce lieu propose un café immense parmi ses boissons. Un personnel attentif attend les clients tout au long de l'année. Si vous voulez profiter d'un service sympa, vous devriez aller à cet endroit. C'est une bonne nouvelle pour les clients que ce restaurant propose un prix moyen. Le décorateur à créé un décor spectaculaire. Le Relais de Saulx est dans le guide Michelin et a 1 "couvert noir" : ce lieu propose une ambiance chaleureuse.
C’est le genre d’endroit que l’on doit partager avec des êtres chers, les émotions ne s’en trouvent que décuplées.
Sur le fond, j’ai vécu ce sublime voyage comme une découverte amoureuse, n’ayons pas peur des mots.
L’attente du 1er rendez-vous, le cœur qui bat en voyant la façade, comme lorsqu’on découvre une belle personne.
Les premiers regards, mi intrigués, mi conquis en entrant dans la salle, à l’image d’un nouveau corps qui se dévoile petit à petit.
Le sourire et la discrétion de Nina, sublime prolongement d’Olivier, nous font nous sentir instantanément bien. Comme le premier baiser, qui augure de tant de belles découvertes.
Et les choix, assumés, judicieux et si intelligents de ce couple de poètes.
Pas de chichis, d’amuses bouches compliqués. Pas de show. On va à l’essentiel, une femme sans fard ou un homme mal rasé.
Et les émotions pleuvent comme la mousson. On se regarde, on s’interroge. Suis-je le seul à sentir une larme poindre au coin de mon œil ?
Suis-je le seul à être transporté ailleurs, si proche et si loin ?
Suis-je le seul à vouloir stopper le temps ou mettre en place un super slow motion. ?
Non, nous sommes 4 autour de cette belle table rustique, au bois veiné à nous regarder et êtres « victimes » de ces alizés émotionnels, de ce supplément d’âme tellement rare.
Pour ma part, je suis scotché, je n’ai pas envie de partir.
Et alors arrive le dessert « Douceur de potimarron », les couverts posés sur la table par Nina, augurent du cataclysme émotionnel qui va arriver.
Une finesse, une beauté simple, une harmonie délicieuse. Et une image, sensuelle.
Ce dessert est la douceur d’un sein sur lequel on dépose un baiser.
Le geste de poser cette fine fourchette sur la « douceur » restera gravé en moi. Porter cette petite portion à ma bouche illumine mes yeux. Et me rend heureux.
Tout simple mais également tellement rare.
C’est ça que je recherche dans un restaurant. Ce que vous m’avez apporté jeudi soir.
Merci, merci merci
Et vient le moment tant redouté de se séparer. C’est compliqué, un dernier verre pour faire durer comme un dernier baiser sur le quai d’une gare, les mains qui se serrent et ne veulent pas se séparer. Et déjà les souvenirs qui vont chanter dans ma tête, parfois à tue-tête, quelques fois tout doucettement, comme une mélodie qui ne nous quitte plus.
Jean Marie