Après avoir visité Place de la Halle, jetez un oeil au menu de ce restaurant. D'après les commentaires des clients, la cuisine française est plutôt bonne. Rien n'est mieux que d'essayer une Kachamak délicieuse. Le Relais de Saulx vous garantit un parfait délectable.
Ce lieu est si bien placé qu'on peut y accéder en utilisant n'importe quel transport. Sur la base des opinions des visiteurs, les serveurs proposent un vin délicieux ici. Démarrez votre repas avec un café immense. La bonne note de cet endroit serait impossible sans un personnel gracieux. Un service énorme est ce que les invités apprécient ici. On vous recommande aussi cet endroit car il propose un prix bas. Un décor familial aide les clients à se détendre. Ce restaurant est dans le guide Michelin et a 1 "couvert noir" : Le Relais de Saulx propose une ambiance chaleureuse.
LundiLun | Fermé |
MardiMar | 19:15-21:30 |
MercrediMer | 19:15-21:30 |
JeudiJeu | 19:15-21:30 |
VendrediVen | 19:15-21:30 |
SamediSam | 19:15-21:30 |
DimancheDim | Fermé |
C’est le genre d’endroit que l’on doit partager avec des êtres chers, les émotions ne s’en trouvent que décuplées.
Sur le fond, j’ai vécu ce sublime voyage comme une découverte amoureuse, n’ayons pas peur des mots.
L’attente du 1er rendez-vous, le cœur qui bat en voyant la façade, comme lorsqu’on découvre une belle personne.
Les premiers regards, mi intrigués, mi conquis en entrant dans la salle, à l’image d’un nouveau corps qui se dévoile petit à petit.
Le sourire et la discrétion de Nina, sublime prolongement d’Olivier, nous font nous sentir instantanément bien. Comme le premier baiser, qui augure de tant de belles découvertes.
Et les choix, assumés, judicieux et si intelligents de ce couple de poètes.
Pas de chichis, d’amuses bouches compliqués. Pas de show. On va à l’essentiel, une femme sans fard ou un homme mal rasé.
Et les émotions pleuvent comme la mousson. On se regarde, on s’interroge. Suis-je le seul à sentir une larme poindre au coin de mon œil ?
Suis-je le seul à être transporté ailleurs, si proche et si loin ?
Suis-je le seul à vouloir stopper le temps ou mettre en place un super slow motion. ?
Non, nous sommes 4 autour de cette belle table rustique, au bois veiné à nous regarder et êtres « victimes » de ces alizés émotionnels, de ce supplément d’âme tellement rare.
Pour ma part, je suis scotché, je n’ai pas envie de partir.
Et alors arrive le dessert « Douceur de potimarron », les couverts posés sur la table par Nina, augurent du cataclysme émotionnel qui va arriver.
Une finesse, une beauté simple, une harmonie délicieuse. Et une image, sensuelle.
Ce dessert est la douceur d’un sein sur lequel on dépose un baiser.
Le geste de poser cette fine fourchette sur la « douceur » restera gravé en moi. Porter cette petite portion à ma bouche illumine mes yeux. Et me rend heureux.
Tout simple mais également tellement rare.
C’est ça que je recherche dans un restaurant. Ce que vous m’avez apporté jeudi soir.
Merci, merci merci
Et vient le moment tant redouté de se séparer. C’est compliqué, un dernier verre pour faire durer comme un dernier baiser sur le quai d’une gare, les mains qui se serrent et ne veulent pas se séparer. Et déjà les souvenirs qui vont chanter dans ma tête, parfois à tue-tête, quelques fois tout doucettement, comme une mélodie qui ne nous quitte plus.
Jean Marie