Si vous allez à ce restaurant, mangez des steaks fascinants. Il est facile de trouver La brasserie du parc grâce à son emplacement. Un personnel dynamique attend les clients tout au long de l'année. Ce lieu est connu pour une atmosphère calme. Les utilisateurs de Google qui sont allés à cet endroit déclarent que la note la plus appropriée est 4.2.
LundiLun | 11:00-22:00 |
MardiMar | 11:00-22:00 |
MercrediMer | 11:00-22:00 |
JeudiJeu | 11:00-22:00 |
VendrediVen | 11:00-22:00 |
SamediSam | 11:00-22:00 |
DimancheDim | 11:00-20:00 |
La portion de frites était minimaliste (un bol de frites pour un menu burger/frites et deux menus nuggets/frites),nous avons dû demander d'en avoir plus, peut-être nous n'aurions pas dû...elles n'étaient pas bonnes, les enfants les ont boudé alors qu'habituellement ils se jettent dessus. Un goût de carton, pas correctement cuites.
Mon fils, fan de pizza ne l'a même pas mangé...sans aucun doute une pizza surgelé, immangeable avec une croûte tellement dure qu'on peut en colmater les fissures d'un mur !
Les burgers étaient froids, le pain à 2 francs 6 sous, même pas toasté, le fromage même pas fondu ! Nous avons renvoyé nos burgers en cuisine, ils ont été réchauffés au micro-ondes, le steak est revenu gris, trop cuit et sec. BEURK !
Vraiment scandaleux !
Addition salée, 160 euros pour des plats de piètres qualités, avec des ingrédients premiers prix et mal cuisinés.
Le paroxysme du non professionnalisme : le restaurateur qui ne souhaite pas entendre nos avis malgré sa demande, aucune remise en question sous prétexte qu'il vend 1000 burgers à l'année et que les frites en brasserie sont d'office des frites surgelées (aucun rapport, les frites dans les brasseries en Belgique sont très bonnes même si elles sont surgelées). Il nous a demandé si ça nous plaisait, il n'a pas apprécié qu'on lui dise, on nous a débarrassé sans un mot. Pas de geste commercial (en nous disant je ne vous ferais pas de geste commercial. Faudrait-il peut-être, déjà avoir la fibre commerciale avant de parler de geste !), à peine un au-revoir ! Plus jamais